Colonisation de l’Algérie : Les indépendances programmées (3/4)

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LES INDÉPENDANCE DES COLONIES
Posées dès le début du 20e siècle
Vers 1930, Lawrence d’Arabie qui était chef du Foreign Office en Asie et au Moyen Orient avait posé la nécessité de donner l’indépendance aux peuples en s’assurant de gouvernants qui leurs soient « favorables».
Bien auparavant cela s’était révélé nécessaire, comment pourraient-ils contrôler un pays comme l’Inde par exemple, dans les 10 ou 20 ans à venir, avec sa démographie galopante.

Si ce constat était sans échappatoire, cette conclusion arrangeait bien les anglais et de plusieurs façons et ils vont l’étudier sous plusieurs coutures.
N’étant pas dupes ou en accord avec Les États-Unis, ils ont su que ces derniers, cherchaient leur part, un nouvel repartage du monde.
Sur qui allait-on se servir ? La France évidement. Lui substituer quelques territoires, ce qui cadrait bien dans la continuité de la guerre contre cette rivale de toujours.
Pour arriver à cette fin, il fallait un pacte, franc avec les États-Unis, contre les Francs ! États-Unis : eux qui ne guetteront plus que quelque subterfuge pour substituer quelques colonies aux français.

La carte juive était déjà en main, dès le XIX siècle, pour leur donner La Palestine, afin de l’empêcher de tomber dans les mains des français, comme aussi, déléguer une partie de son travail à ce peuple juif que l’on aura réuni, à travers le monde.
On les utilisera aussi pour affaiblir la France, dans les deux grandes guerres mondiales. (Voir Céline : Bagatelles pour un Massacre).
On arriva à les retourner contre ceux qui les avaient toujours accueillis et protégés, à chaque fois que l’Europe les rejetait : Les musulmans !
Qui est aveugle, eux ou l’Europe ? Se retourneront-ils contre l’Europe, un jour… Après trois mille ans, ils se sont rappelés qu’ils « ont quelque terre » par ici et en cinquante ans ou quelques siècles, ils vont oublier leurs bourreaux ???
Merci Céline de leur répondre, de votre tombe, ils vous croiront !

Il restait donc de s’assurer que sa rivale, la France, acceptera t-elle aussi cette idée, en même temps on profitera pour la plumer, cela va de soi! La belle occasion, quitte à tout laisser à ses alliés, l’essentiel reste celui d’affaiblir la France. Bien pensé ! Du moins, je ne suis pas le seul à le penser ! Céline : « Ce n’est pas la peine de chercher la différence entre un anglais et un juif, vous ne perdrez que votre temps : c’est du kif au pareil ! » Le pauvre, il a alerté ses concitoyens à maintes reprises des machinations anglaises, mais il ne sera pas écouté. Lire et relire, pour ceux que cela intéresse.

Les français ne faisant aucune confiance aux anglais avaient toujours refusé de marcher dans leur combine.
Vers 1932 les choses se faisant pressantes, on prépara et précipita la 2 ème guerre mondiale, en plus par la France contre son pays frère l’Allemagne, d’une pierre deux coups! Comme auparavant ou comme d’habitude.
Ils avaient préparé leur général De Gaule, « L’homme de l’Angleterre » dira plus tard un historien français.
C’est comme par hasard le seul et premier qui va accepter et leur nouvelle invention, « décoloniser » et revenir, par la colonisation économique…
Il sera propulsé tout à fait en haut, alors que la France avait son président et son gouvernement. Chut, c’est leur problème !
Pour moi, cela me suffit dans ma guerre, attraper un général !!! Non, le rattraper seulement mais c’est encore kif kif.

Les médias
L’un des meilleurs exemples et le plus beau : j’emplois « Hollywood, dans un sens général, pour désigner les entreprises cinématographiques. Sauf qu’ici, ce n’est pas du cinéma !

Dès 1930 on demanda à «Hollywood» de réfléchir sur une façon de partir en guerre elle aussi. On opta pour le lancement des films Westerns, pour faire « passer » des cours d’initiations aux futurs révolutionnaires: monter, démonter une arme (et on prend tout son temps), les noms des stratagèmes, embuscades, sièges, tirs croisés ….. Bref on va leur enseigner la guerre ! Juste ce qu’il faut, on ne va pas leur offrir des avions, quand même !
Je parie que les alliés l’auraient fait si les choses avaient tourné au profit des français. Aucun scrupule dans ces domaines, à la guerre, comme à la guerre ! Sauf que les français ne pourraient jamais entrevoir cette éventualité.

Ces films vont faire plusieurs fois le tour des salles de cinéma : nous étions gosses mais on avait la certitude de pouvoir manier les armes, les nettoyer et pourquoi pas, jouer aux héros ! La boxe, les coups de poings, l’honneur et la gloire ! Tout un mythe fut construit, Merci « Hollywood ! » Cela a servi quand même !

D’autres feront de même, dans d’autres pays, autres temps, temps modernes, créant des milices destructrices, pour déstabiliser des pays, même après les indépendances ! Autrefois, durant les croisades en Orient, on se faisait précéder ou accompagner, par des hordes sauvages, pour piller, tuer : N’est-ce pas la même chose, aujourd’hui ? Merci !!

Par ailleurs des chansonnettes pour enfants et pour fillettes, spécialement conçues pour ces pays. Tout est au complet.
Principalement les chansonnettes permettant de rester dans le rêve et de ne pas penser ou réfléchir sur le présent et sa condition de vie.

Les religieux
Nostradamus. Révolution islamique mondiale, pour 1992.
Il y a pourtant plus de quatre cent ans, Nostradamus « indiquait » dans ses textes, parmi d’autres évènements, une révolution islamique mondiale, pour la fin du 20 ème siècle, 1992, plus exactement, comme porté sur ce « pseudo-livre » !
Ne croyant pas aux voyances, surtout des siècles auparavant, cela nous fait penser plutôt à un programme, « balancé » ainsi, par quelques puissances, là, occultes.
Le livre existe bien, je l’avais relevé moi-même, vers 1980 ! Donc bien en avance, sans pour autant donner à cela, un sens de vérité mais la réalité, nous l’avons vécue, surtout en Algérie, avec la décennie noire, des années 90.
Ce qui est étonnant, absolument, c’est la date exacte avancée, fixée et respectée.
L’Islam allait être l’outil magique ! L’extrémisme islamique…

On s’arrangea quand même à abattre l’URSS, en 91, pour avoir les « mains libres ».
Un suivi et une coordination incroyable, s’ils avaient pu être mis au service de l’humanité, de la civilisation !

Les révisions régulières
Par contre et cela est bien connu des observateurs, que l’on fait subir, à tous ces petits pays, des « Révisions », tous les quinze ans environ, une remise à zéro, pour être plus précis.
Ici, cela concerne l’Islam, donc plusieurs pays à la fois et est posé, avec un compte-goutte : un dosage précis, une combinaison de faits calculée et ordonnée de telle sorte qu’elle aboutira, obligatoirement au résultat escompté.
On savait par avance, par exemple, ce qu’allaient devenir les enfants nés, vingt ans auparavant, on pouvait en faire ce que l’on voulait : jusqu’à créer des monstres, sans passer par la génétique.
Des spécialistes, pourraient peut être un jour, éclaircir, cette page de l’histoire.

Le fait est là. On a donc profité à greffer les indépendances, pour trente ans auparavant, les années 60. Ici, en Algérie : 1962-1992. Trente ans. Ce n’est pas une simple coïncidence.

On a pu assister à des programmations assez rapprochées, tels « les Printemps arabes », annoncés par Condolesa Rice, Ministre des Affaires étrangères américaines, six à huit ans par avance, les années, 2005-2006, sous une autre désignation : « L’Anarchie créatrice », (Al Fawdha Al Khellaqa). Elle ne le sait pas, mais toute leur politique a avortée, a eu un effet de retour, FMI, Banque Mondiale, Libéralisation anarchique, et je l’avais déjà mentionné, bien avant que cela ne se produise ! Une faillite totale, les conduisant à une fuite en avant, tête baissée, jusqu’à une fin certaine, une décadence inimaginable par sa rapidité et ses conséquences sur leurs économies et leurs pays. Telle que prévue et décrite par Malek Bennabi, notre éminent penseur, déjà vers 1970.

La double programmation
Cette double programmation concomitante, indépendances et « Révolution » Islamique Mondiale, conduit à prendre d’autres dispositions, par exemple, faire le ménage chez soi, recenser les musulmans, les surveiller, en recruter… Et surtout encadrer les éventuels problèmes, notamment pour les États-Unis qui avait une grande population noire, marginalisée et dans la misère : il fallait leur faire faire leur révolution. Pour ne pas risquer de les voir, se convertir, par milliers ! A L’Islam. Aussi simple que cela !
Un Pasteur, (moine), un Martin Luther King « arriva » et sauva l’Amérique ! Les années 60, tout simplement. (Voir ci-dessous).
Bien bonne celle-là, chacun a eu sa révolution ou sa guerre, à tous ces seigneurs du monde ! Pas de jaloux !!
D’ailleurs, pour tout bon observateur, les révisions régulières, se font pratiquement en même temps dans tous les pays, chaque pays (Seigneur), s’occupe de son ou ses poulains. On verra des coups d’états ou pourquoi pas, des crimes en série et personne n’y trouve à redire, opérations bien pensées, et de simples extractions de mauvais dictateurs : cela permet par là même de récupérer leurs fortunes, amassées grâce à leurs maîtres, justement.
« Un dictateur est un bon investissement, une véritable tirelire, une fois bien pleine, on la renverse et on la brise, pour récupérer nos dépôts ! »

Le Partage des rôles
Ce qu’il y a de plus remarquable, par ailleurs, est que les trois puissances, États-Unis, Angleterre et France, se sont partagés les rôles : « Le Bon, La Brute et Le Truand ! » (Je pense que tout le monde connaît le Western de ce nom)
L’Angleterre prendra celui du « Bon », elle ouvrira ses portes et accueillera tous les musulmans du monde, bons ou mauvais, faisant le dos rond, usant d’une générosité inconcevable, pour tout arrivant. Elle savait ce qu’elle faisait et que c’était un investissement, à long terme et du solide.
Les États-Unis et la France, ont eu les deux autres rôles, qu’il serait aisé à déterminer.

Autres préparations
– Les écoles coraniques en 1937
En Algérie on rétablit l’enseignement coranique en 1937 environ, comme on lève certaines interdictions, pour « permettre » la création de réseaux, oh tous bien contrôlés. Il lui était facile d’atteindre qui elle voulait.
Les algériens ont eu leur guère de libération, nous avons eu des gens honnêtes, des martyrs mais plusieurs réseaux veillaient.
En France et en Occident, d’une façon générale, tout canaliser, algériens émigrés, étrangers, français, médias…

– Utiliser les juifs contre la promesse de leur donner la Palestine… Ils l’aideront dans la destruction d’Hitler, dans le recouvrement de De Gaule, dans la vente d’armes aux moudjahidines (tout passait je crois avoir entendu par un bureau français en Suisse) et plus tard dans l’OAS. OAS qui avait « pignon sur rue » à Lisbonne ! (Siège principal). Rien que cela : dire que des familles de victimes, ne l’ont jamais su. Peut être aussi, même à Strasbourg ou Bruxelles !

– La création de l’ONU pour justifier leurs guerres… La création du FMI pour accompagner ces pays contre le mur… les endetter, les saigner…
Les Droits de l’Homme, la fausse libération de la femme, le régionalisme… autant de leviers que l’on ne peut imaginer.

– De même, cela pour les nostalgiques, tous les aléas avaient été décortiqués, à l’avance, lors de cette préparation méticuleuse : Retour des colons ou Non Retour, les recevoir dans des cases ou les diriger vers d’autres colonies. Les Harkis, les collaborateurs, les prendre en charge ou non.
Les colons, De Gaule : « qu’ai-je à en foutre, ce ne sont pas des français, ils ont trop fréquenté les arabes ! »
Faire semblant pour tout ! Rien que cela.

– Préparer les pourparlers, les Accords d’Évian, leur contenu, peut être même jusqu’à une copie anticipée.
– Préparer ses remplaçants, pour une gestion du pays, des personnes qui leur sont favorables.
– Préparer minutieusement une guerre civile dès l’indépendance, entre algériens. Par la vigilance des algériens, ce plan avait avorté, au dernier moment.

Tout ce qui avait été dit ci-dessus, comme nous avons pu le constater par la suite : une rapidité extraordinaire dans la succession des évènements, les dernières années, avant 1962, extraordinaire !

Le Général
A/ – Avait compris que la France, elle aussi, se devait de « décoloniser »,
– Avait compris que la France, elle aussi, se devait de « décoloniser », comme l’Angleterre mais il est « censé » savoir que La Couronne était l’ennemie première et permanente de la France et qu’on ne devait pas avoir en elle une confiance aveugle.
– La France avait son président, son gouvernement, ses institutions, il aurait pu ne pas chercher à les contrecarrer, ou les déstabiliser, allant jusqu’à les accuser de collaboration avec l’ennemi, durant la deuxième guerre mondiale. Ce qui peut être grave.
– Il « pouvait » aussi ne pas se baser en Angleterre, qui surveillerait tous ses mouvements.
Autant « d’erreurs » ou de mauvaises démarches, pouvant lui être à charge. De quoi je me mêle…

B/ – « Tout le monde » était au courant, sauf les français.
– Il va mettre en danger les français d’Algérie.
– Il envoie des appelés, jeunes et mal formés, se faire tuer dans une « fausse » guerre et en « dehors » de leur pays.
– Il accuse et démet tous les responsables ou militaires récalcitrants, qui pourtant, avaient bien servi leur pays pour aboutir à ses fins, la décolonisation.
– Créant la guerre, il va aggraver la pression sur le peuple algérien déjà affaibli et meurtri par un siècle et demi de servitude.
– Des assassinats ciblés, des responsables politiques, militaires, religieux, des notables, des intellectuels, des étudiants algériens…
Violence, entraînant violence, et des représailles contre le peuple s’en suivent, plus dures.
– Il va provoquer des crimes de masses, des villages entiers détruits, hommes, femmes et enfants, forêts, animaux et habitations, tous y passeront, dans chaque coin du pays, jusqu’aux plus éloignés : une « Terre brûlée », programmée, orientée, dans un calcul de « reconstruction », de marchés d’avenir et de cartes de chantage.
L’exemple du « Plan dit de Constantine », visant certainement, la mise en place d’un bien alléchant piège, voir un plan de destabilisation, notamment de l’agriculture, par les « Mille villages agricoles », entraînant la délocalisation ou déportation des agriculteurs les éloignant, les coupant de leur terres ancestrales.
La France ayant promis de laisser les enveloppes de toute infrastructure entamée avant l’indépendance. Et nous y voilà avec quelques bombes à retardement, tel ce Plan des Mille Villages agricoles !
C/ – Le Chantage américain
Janvier 1943
Dans son livre Les Damnés de la terre, Alexis Arette (qui tenait l’information de Georges Bidault, l’ancien président du Conseil national de la Résistance) rapporte l’anecdote suivante: « Lors de la conférence de Casablanca qui se tint du 14 au 24 janvier 1943 afin de préparer la stratégie des Alliés après la guerre à l’égard de l’Europe, Churchill parvint à réunir non sans mal Giraud et De gaulle en face de Roosevelt. Giraud était indispensable dans l’élaboration de cette stratégie. Général de grande valeur, à la tête de l’armée d’Afrique, il ne devait aucune de ses étoiles aux « arrangements politiques du temps » et jouissait d’un grand prestige aux yeux des Américains depuis son évasion, l’opération Torch et la prise d’Alger. Ces derniers le considérant, sans la moindre équivoque, comme le chef militaire de la France combattante envisageaient très sérieusement une coopération unifiée où tout naturellement sur le plan strictement militaire, De gaulle était placé hiérarchiquement sous ses ordres … ce que le « général micro » n’appréciait guère. Les deux hommes se détestaient … Tout les opposait. […] Mais les Américains comprenant que le ralliement de l’Afrique dans sa globalité était nécessaire et que dans ce contexte Giraud qui restait loyal à Pétain – mais qu’ils considéraient comme infiniment plus fiable et d’une envergure supérieure à De gaulle – était absolument incontournable. Churchill allait donc œuvrer pour mettre les deux hommes en face de Roosevelt et obtenir la fameuse poignée de main de circonstance dont la photo fera le tour du monde … Cependant Roosevelt, toujours frileux pour entrer en guerre en Europe, posa clairement la question aux deux officiers français: « Les États-Unis seraient susceptibles de débarquer en France à la condition que la France accepte d’ouvrir son empire au commerce américain et prenne l’engagement de décoloniser dans les trente ans. » Giraud eut un haut-le-cœur et claqua la porte … De gaulle resta. On connaît la suite … Peu de choses ont été dites officiellement sur le marchandage de cette entrevue et le refus de Giraud d’accepter les conditions honteuses du démantèlement de l’Empire colonial français, conditions auxquelles de Gaulle souscrit sans le moindre scrupule … »
(http://guerredalgerie.pagesperso-orange.fr/index.htm).

Je n’ai rien inventé, grâce à Dieu, ils ont leurs témoignages !!!

D/ – Son rapide cessez-le-feu.
En 1958, le lendemain de son arrivée au pouvoir, le général de Gaulle se rend à Alger. Il lance son fameux « Je vous ai compris ! », laissant ses auditeurs « traduire » ses propos…

Le FLN crée le gouvernement provisoire de la république algérienne à Tunis (GPRA).
On créera en même temps son opposé à Oujda au Maroc, pour balancer le tout et « programmer » une guerre civile, le jour de l’indépendance !

En avril 1961, les généraux français d’Algérie, se soulèvent lors du putsch d’Alger, contre « L’abandon de l’Algérie ».
Le 20 mai 1961 s’ouvrait la conférence d’Évian entre la délégation française et celle du GPRA, alors que les combats se poursuivaient et que l’activité terroriste de l’OAS se déclenchait aussi, en métropole. Durant toute la guerre, l’opinion publique est profondément divisée. Elle est divisée entre Européens et musulmans, mais aussi à l’intérieur de chaque communauté.

Les pourparlers aboutissent le 18 mars 1962, les Accords d’Évian sont signés entre négociateurs algériens et français et un cessez le feu est décrété. Le référendum d’avril 1962 en France a donné une forte majorité au «oui », signifiant l’approbation du retour à la paix. C’est à une majorité écrasante (99,7%) que les Algériens se prononcèrent en faveur de l’indépendance.

C’est rapide, trop rapide… Calendrier, efficacité. Couverture onusienne.
Certainement aussi « Brigades spéciales » pour « calmer » les récalcitrants. À ce qu’il paraît il y aurait eu même des brigades israéliennes à Alger et à travers le territoire.
On les reverra plus tard dans plusieurs endroits, même trente ans plus tard, en Côte d’Ivoire… ou en Algérie…
En Côte d’Ivoire, la France fit appel à un groupe d’une soixantaine de mercenaires, d’Israël : cela avait même été révélé sur leurs chaînes de télévision, pour déstabiliser le président Gbaqbo, peut être même, essayer de l’éliminer.

On inscrira sur le compte du FLN, toutes les manœuvres machiavéliques :
« Plus de 3 000 français, ont été enlevés par le FLN et, pour la plupart d’entre eux, massacrés même après les accords d’Évian (18 mars 1962)… »
Alors que les casernes françaises, pleines étaient encore sur place !
A chacun de tirer ses conclusions et de chercher la vérité.

Dr Mohamed ZEMIRLINE

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Reçu, ce 10 avril 2010, de Jonathan Klein, professeur de littérature à Bakersfield, en Californie, ce message où il est question...
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